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L’ONU reconnait un « droit à un environnement propre, sain et durable », via une résolution dotée d’une valeur fortement symbolique, mais seulement symbolique

L’Assemblée générale des Nations Unies a adopté résolution reconnaissant un droit à un environnement propre, sain et durable. 

Voici ce texte :

Aucun Etat n’a voté contre mais 8 se sont abstenus (le Bélarus, le Cambodge, la Chine, l’Éthiopie, la Fédération de Russie, le Kirghizistan, la République islamique d’Iran et la Syrie) : 

Source de l’image : « Coalition du Pacte mondial »

Le Porte-parole de M. António Guterres, Secrétaire général de l’ONU, a bien évidement salué « ce début » que constitue ce texte qui, s’il est dépourvu de valeur juridique, peut revêtir une réelle force symbolique  :

Mais cette résolution a entraîné de vifs commentaires de part et d’autres, ici résumés avec honnêteté par les Nations Unies elles-mêmes :

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