Quoique marinière, la moule n’aime pas les vagues juridiques
C’est l’histoire d’une moule… ou plutôt de tonnes de moules. Qui sont trop petites pour être consommées. Alors on les jette un peu de ci, de là. Faute d’être avalées par les humains, ce sont les oiseaux qui s’y collent, ce qui semble limiter les déprédations qu’ailleurs les volatiles eussent
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